Mettre la vérité en prtique – la discipline ecclésiastique

Steve Atkerson

LA MOTIVATION DE LA DISCIPLINE
Nous avons un Sauveur qui désire que tous Ses enfants marchent dans la vérité. Son amour pour nous est démontré de plusieurs façons. Il s’est donné lui-même, Il nous a sauvés, Il nous a transformés, Il nous a donnés la puissance, Il vit en nous, Il nous guide, nous dirige, nous enseigne, et même qu’Il nous discipline. Tout cela est motivé par son amour pour ses enfants. Écoutez la déclaration d’Apocalypse 3:19, « Je reprends et je châtie tous ceux que j’aime; aie donc du zèle, et te repens. ».

Cette forme de discipline motivée par l’amour n’est rien d’autre que le désir du Père que ses enfants connaissent la vérité et y marchent. Cet amour souligne que le Père sait mieux que quiconque ce qui est bon, et qu’Il veut ce qu’il y a de mieux pour ses enfants. Il souligne que nous voyons comme dans un miroir, obscurément, et que nous prenons des décisions égoïstes, qui engendrent parfois des conséquences horribles dans nos vies. Puisque le Père a envoyé le Fils pour que nous ayons la vie, et que nous l’ayons en abondance, nous avons besoin d’être corrigés, dirigés et disciplinés, ce qu’Il fait dans son amour.

L’amour que le Père démontre en nous disciplinant est expliqué dans Hébreux 12:5-11 : « Mon fils, ne méprise pas le châtiment du Seigneur, et ne perds point courage, lorsqu’il te reprend; car le Seigneur châtie celui qu’il aime, et il frappe de ses verges tout fils qu’il reconnaît. Si vous souffrez le châtiment, Dieu se présente à vous comme à des fils; car quel est le fils que son père ne châtie pas? Mais si vous êtes exempts du châtiment auquel tous ont part, vous êtes donc des bâtards, non des fils légitimes. D’ailleurs nos pères selon la chair nous ont châtiés, et nous les avons respectés: ne serons-nous pas beaucoup plus soumis au Père des esprits, pour avoir la vie? Car nos pères nous châtiaient pour peu de jours, comme ils le trouvaient bon; mais Dieu nous châtie pour notre avantage, afin que nous participions à sa sainteté.

Il est vrai que tout châtiment ne paraît pas sur le moment un sujet de joie, mais de tristesse; mais ensuite il produit un fruit paisible de justice pour ceux qui ont été ainsi exercés. ».

Le dictionnaire biblique Evangelical Dictionary of Biblical Theology montre que « le concept de la discipline de Dieu, et éventuellement le concept de la communauté et ses responsables exerçant la discipline de Dieu, sont tirés du concept de discipline domestique (Dt 21:18-21; Pr 22:15; 23:13). Dieu est décrit comme un père qui guide son enfant… Le concept de discipline en tant que châtiment familial demeure dans le Nouveau Testament (Ep 6:4; 2 Tm 2:25; He 12:5-11). »1

DISCIPLINE PERSONNELLE ET PRIVÉE
Comment le Père nous discipline-t-il? Il discipline de diverses façons et à l’aide de plusieurs méthodes, mais, habituellement, il utilise à la fois la Parole et Son Esprit. D’une façon très privée et personnelle, en utilisant la Parole et en nous convainquant par l’Esprit de Dieu, Il nous révèle nos péchés et nous amène à la vérité. Lorsque nous nous repentons avec zèle, Il prend plaisir à changer nos pensées et nos cœurs et à nous donner la puissance de surmonter les obstacles qui nous ont arrêtés par le passé. Comment la Parole nous discipline-t-elle? 2 Timothée 3:16 dit « Toute l’Écriture est divinement inspirée, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour former à la justice ». Quand nous lisons et étudions Sa Parole, et que nous prenons conscience de Ses commandements, Il nous donne alors la chance de nous repentir et de faire les choses à Sa façon. Proverbes 6:23 déclare : « Car le commandement est une lampe, l’enseignement est une lumière, et les corrections propres à instruire sont le chemin de la vie ». La majeure partie de la discipline divine a lieu pendant les temps de dévotion dans la Parole et la prière. En privé et de façon personnelle, le Père nous enseigne sa voie et nous donne la puissance de la suivre!

La Parole travaille de concert avec le Saint-Esprit pour nous convaincre de la justesse des voies du Seigneur. Par exemple, Jésus a promis dans Actes 1:8 que « vous recevrez la puissance du Saint-Esprit, qui viendra sur vous; et vous me servirez de témoins, tant à Jérusalem que dans toute la Judée, et la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre ». Lorsque nous sommes sauvés, le Saint-Esprit vient vivre en nous : « Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit, qui est en vous, et qui vous a été donné de Dieu » (1 Co 6:19). Nous avons la responsabilité de garder ce que le Seigneur nous a donné par son Esprit. 2 Timothée 1:14 commande, « Garde le bon dépôt, par le Saint-Esprit qui habite en nous ». L’un des outils que nous avons pour nous aider à garder ce que le Seigneur nous a donné est l’esprit de discipline. Par exemple, Paul rappelle que « Car Dieu ne nous a point donné un esprit de timidité, mais de force, de charité et de prudence » (2 Tm 1:7).

Toute discipline est dure et difficile : « Il est vrai que tout châtiment ne paraît pas sur le moment un sujet de joie, mais de tristesse; mais ensuite il produit un fruit paisible de justice pour ceux qui ont été ainsi exercés » (He 12:11). En contraste, selon Proverbes 12:1 : « Celui qui aime la correction, aime la science; mais celui qui hait d’être repris, est un insensé. ». Notre choix est clair : soit nous acceptons la discipline du Seigneur et aimons les fruits paisibles de la justice, soit nous jouons les insensés et rejetons Sa discipline.

DISCIPLINE ECCLÉSIASTIQUE PUBLIQUE
Qu’arrive-t-il lorsqu’un frère ou une sœur refuse la conviction de l’Esprit et l’enseignement clair de la Parole? Lorsqu’un croyant accepte ouvertement et pratique un comportement explicitement interdit par la Parole? 1 Corinthiens 12 enseigne avec précision que nous sommes les membres d’un seul corps. Non seulement nous y apprenons comment le corps fonctionne et la place de tous les dons dans le corps, mais aussi que lorsqu’un des membres du corps est malade, cela touche tout le corps. Le verset 26 déclare : « Aussi, lorsqu’un membre souffre, tous les membres souffrent avec lui; et lorsqu’un membre est honoré, tous les membres se réjouissent avec lui ». Lorsque notre frère pèche et qu’il ne se repent pas, cela affecte tout le corps, et tout le corps en souffre. N’oubliez pas : « Or, vous êtes le corps de Christ, et vous êtes ses membres, chacun en particulier. » (12:27). Par conséquent, nous avons une responsabilité familiale d’aider notre frère qui est dans le péché. Motivé par amour pour le frère, nous sommes commandés de confronter le frère et la situation de péché afin de rétablir le frère et de protéger la famille qui se réunit localement.

Bien que plusieurs passages des Écritures touchent à ce sujet, les deux principaux sont Matthieu 18 et Galates 6. Nous citons ces passages ci-dessous puisque nous y faisons souvent allusion :

Si ton frère a péché contre toi, va et reprends-le entre toi et lui seul; s’il t’écoute, tu as gagné ton frère. Mais s’il ne t’écoute pas, prends avec toi encore une ou deux personnes, afin que tout soit réglé sur la parole de deux ou de trois témoins. Que s’il ne daigne pas les écouter, dis-le à l’Église; et s’il ne daigne pas écouter l’Église, regarde-le comme un païen et un péager. Je vous dis en vérité que tout ce que vous aurez lié sur la terre, sera lié dans le ciel; et tout ce que vous aurez délié sur la terre, sera délié dans le ciel. Je vous dis encore, que si deux d’entre vous s’accordent sur la terre à demander quoi que ce soit, ils l’obtiendront de mon Père qui est aux cieux. Car où il y a deux ou trois personnes assemblées en mon nom, je suis là au milieu d’elles.
— Matthieu 18:15-20

Frères, si un homme a été surpris en quelque faute, vous qui êtes spirituels, redressez-le dans un esprit de douceur. Prends garde à toi-même, de peur que tu ne sois aussi tenté. Portez les fardeaux les uns des autres, et accomplissez ainsi la loi de Christ.
— Galates 6:1-2

LA PREMIÈRE ÉTAPE
Le processus de découverte du péché est toujours laissé à la providence du Seigneur. Il ne doit jamais y avoir un comité permanent d’enquête ou un groupe de surveillants responsable de découvrir les péchés qui sont dans la vie de un et chacun. Plus nous marchons en Christ, plus nous grandissons dans l’intimité et la communion, plus nous deviendrons naturellement au courant de ce qui arrive dans la vie de notre prochain. Lorsque nous marchons en Christ et découvrons qu’une personne est dans le péché ou voyons un frère pécher, nous sommes alors appelés à agir pour le bien du frère en question. Il importe de remarquer que tout le monde, et non seulement les anciens et les responsables, sont appelé à exercer ce ministère qui appartient au corps en entier. Si vous êtes celui qui découvre un frère dans le péché, vous êtes aussi celui qui est responsable d’aller voir le frère et de le confronter. N’allez pas voir les anciens; plutôt, allez voir le frère qui est dans le péché. La seule qualification requise de la personne qui doit confronter le frère en question est qu’elle soit un frère et soit spirituelle, habitée par l’Esprit du Dieu vivant.

Si le Seigneur vous a choisi pour être utilisé de cette façon, la première étape consiste à prier et à vérifier votre motivation. Sommes-nous motivés par l’amour du frère? Agissons-nous dans un esprit de douceur? Cherchons-nous la guérison du frère en question? Faisons-nous attention au cas où nous serions tentés d’une façon similaire? De toute évidence, on doit prier et penser à propos de beaucoup de choses avant de franchir la première étape de parler en privé avec le frère qui est dans le péché.

Après vous être préparé dans la prière et l’introspection, la prochaine étape consiste à aller voir en privé le frère qui est dans le péché, « reprends-le entre toi et lui seul » (mis en italiques par l’auteur). Je suis convaincu qu’il s’agit de la méthode privilégiée par le Seigneur. C’est parce que la majeure partie de la discipline est personnelle et privée, et elle sert de pont entre une discipline personnelle et une discipline publique. Jésus a spécifié « seul ». N’est-ce pas merveilleux que le Seigneur ne veut même pas que nous soyons publiquement humiliés et qu’Il tente délibérément et spécifiquement de nous en garder? Quelle belle occasion de se repentir sur-le-champ et en privé! Lorsqu’elle porte fruit, cette première étape de la discipline publique amène le pécheur à la repentance, édifie le corps et solidifie habituellement la relation entre celui qui confronte et le frère qui est confronté.

On doit laisser le temps au Saint-Esprit de convaincre de péché. La réaction initiale de la plupart des gens n’est pas leur réaction finale. Laissez le temps au frère de considérer dans la prière ce que vous lui avez dit. N’imposez pas une échéance au travail du Saint-Esprit, mais continuez d’être disponible pour le frère pour prier et le conseiller. Ne vous attendez pas à ce que sa toute première réaction soit de se repentir. C’est un privilège d’observer le travail du Saint-Esprit dans la vie d’un frère. Un bon indice est de laisser au frère autant de temps que vous aimeriez qu’on vous en laisse.

Si le frère vous écoute, vous avez gagné le frère. L’affaire est réglée et aucune autre confrontation n’est nécessaire. Une attention toute particulière doit être donnée aux fruits de la repentance, afin de s’assurer que le frère est sincère et qu’il entreprend une démarche biblique pour se retirer de l’occasion de tentation. Pour aider le frère, il peut s’avérer nécessaire de continuer de prier et de le conseiller. On devrait persévérer dans ces moyens jusqu’à ce que et le frère qui a confronté et le frère qui est dans le péché sont convaincus que la victoire a été obtenue.

LA SECONDE ÉTAPE
Que faire si un frère refuse d’écouter et de se repentir? Jésus a dit : « Mais s’il ne t’écoute pas, prends avec toi encore une ou deux personnes, afin que tout soit réglé sur la parole de deux ou de trois témoins ». On a beaucoup écrit sur la seconde étape de discipline ecclésiastique publique. Certains pensent que les deux témoins ou plus doivent être témoins du péché en question. D’autres croient plutôt qu’ils sont là pour être témoin de la confrontation entre les deux frères au sujet du péché en cause et pour juger l’attitude et les réactions des deux hommes impliqués dans la confrontation. Cela a définitivement pour effet de rendre le processus public. Il s’agit d’une aggravation dramatique du processus et cela fait appel à la pression publique pour convaincre le frère d’abandonner son péché et de se repentir.

Nous devons aller voir le frère dans le péché à l’aide de deux ou trois témoins. Je ne pense pas qu’ils doivent nécessairement être témoins du péché en cause, mais ils doivent être témoins de la confrontation. Les témoins doivent aussi être des hommes spirituels qui sont bien ancrés dans la Parole et qui ne seront pas tentés par une même sorte de péché. Ils devraient également être en relation avec les deux parties. Ils sont là pour observer le processus et conseiller à la fois celui qui confronte et celui qui est confronté. Étant donné que ce type de confrontation verse parfois dans l’émotion et l’agitation, les témoins peuvent aussi agir en tant que superviseurs afin de s’assurer qu’un esprit de douceur règne. Tout au long de la confrontation, les deux ou trois témoins doivent aider à garder en vue le but de la guérison et à faire en sorte que la conversation continue dans la bonne direction. La personne confrontée tente parfois de changer de sujet en interrompant, en attaquant la ou les personnes qui la confrontent, en justifiant son comportement ou en niant carrément les accusations. Les témoins doivent aider les deux parties à demeurer calmes, à garder en vue le but de la guérison dans leur conversation, à s’assurer que la motivation d’amour pour le frère soit clairement exprimée pour justifier la confrontation et pour amener la conversation vers une décision.

LA TROISIÈME ÉTAPE
Si après avoir confronté en privé et avec deux ou trois témoins il n’y a toujours par de fruit de repentance, la personne à l’origine de la confrontation et les témoins doivent le rapporter à l’église. Il ne s’agit pas de l’église universelle, mais de l’église locale, le groupe local qui se réunit ensemble. On doit parler de la nature du péché, des étapes qui ont été franchies et des résultats des conversations précédentes. Le premier rapport peut être fait lors d’une rencontre des hommes, afin que chaque homme puisse discerner ce qui arrive et décider ce qu’il en dira à sa femme et à ses enfants, s’il décide de leur en parler. Puisque le rapport inclut une description du péché en cause, une attention particulière doit être portée aux croyants immatures et aux enfants. N’oubliez pas que l’Écriture, dans Galates, enseigne que ceux qui confrontent doivent être spirituels (matures) et avoir un esprit de douceur. Le but de la guérison doit être poursuivi avec encore plus de force dans les rapports publics, car plus il y a de frères et de sœurs qui sont mis au courant, plus la possibilité de mal réfléchir et de mal agir augmente. Nous devons faire très attention de ne pas faire des racontars et de la médisance, d’exagérer et d’adopter une mauvaise attitude. Le but est de guérir, et non de crucifier le frère. Tous les membres du corps local participent maintenant à la confrontation du frère et ils doivent tous l’aider.

Il n’y a que deux groupes de personnes dans le monde, ceux qui sont sauvés et qui sont dans l’église, et ceux qui sont hors de l’église. Dans Matthieu 18, Jésus parlait à ses disciples, à un temps où l’église n’existait pas encore. Lorsque Jésus a dit que le frère qui ne se repent pas devrait être considéré comme un Gentil, il enseignait à ses auditeurs juifs que le frère non repentant devait être traité comme s’il ne faisait pas partie de la famille de l’alliance, comme un étranger, séparé de la grâce de Dieu. Nous voyons l’un des meilleurs exemples de cela dans les épîtres aux Corinthiens, où Paul dit aux Corinthiens d’exclure le frère qui était dans le péché sexuel avec sa belle-mère. Dans la seconde épître, il dit aux Corinthiens de le recevoir à nouveau au sein de l’assemblée de l’église. Donc, comme pour les autres étapes, cette dernière étape vise aussi la repentance et la guérison du frère dans le péché.

SOMMAIRE
Le bon berger va toujours chercher la brebis perdue. L’Évangile est vraiment merveilleux, car il prend soin du frère dans le péché qui ne parvient pas à se repentir, car celui-ci peut compter sur la bonne volonté d’une assemblée pleine d’amour qui l’aidera à être guéri et rétabli dans l’assemblée. Ces directives claires de l’Écriture nous enseignent comment effectuer cette guérison. Considérez les principes suivants :

  1. La motivation pour tout acte disciplinaire est l’amour du Père.
  2. La majeure partie de la discipline est personnelle et s’effectue en privé.
  3. La majeure partie de la discipline est réalisée au moyen de l’étude de la Parole et de la prière et du travail du Saint-Esprit dans la vie d’un croyant.
  4. La pratique du péché est un problème familial et les autres membres de la famille de l’église doivent parfois s’en occuper pour l’amour du frère qui pèche et de la famille.
  5. Dieu lui-même révèle et fait lumière sur toutes choses.
  6. Tous les membres spirituels matures du corps sont appelés à ce ministère du corps.
  7. Avant une confrontation, il faut prier et s’examiner soi-même.
  8. Faites bien attention de préserver la vie privée du frère qui est dans le péché en allant le voir en privé.
  9. Si le frère rejette le conseil, retournez le voir avec deux ou trois témoins.
  10. « Que s’il ne daigne pas les écouter, dis-le à l’Église »
  11. « S’il ne daigne pas écouter l’Église, regarde-le comme un païen et un péager. »

— Mike Indest
02/02/07

NOTES
1 Walter Elwell, Evangelical Dictionary of Biblical Theology (Grand Rapids, MI: Baker Publishing Group, 1996).

QUESTIONS À DISCUTER

  1. Selon Hébreux 12:4-11 et Apocalypse 3:19, qu’est-ce qui fait partie intégrante de l’amour de Dieu pour nous?
  2. Selon Proverbes 12:1, à quel choix fait face chaque croyant?
  3. Comment Dieu le Père utilise-t-il la Parole et l’Esprit pour nous discipliner?
  4. Que faire lorsqu’un frère ou une sœur refuse d’être convaincu par l’Esprit et l’enseignement clair de la Parole (Mt 18, Ga 6)?
  5. Quelles sont les étapes du processus disciplinaire de l’église (Mt 18:15-17)?
  6. Quelles questions quelqu’un devrait-il se poser en ce qui concerne ses motivations avant d’entreprendre la première étape d’un processus disciplinaire?
  7. Quel est le but d’avoir plusieurs témoins lors de la seconde étape du processus disciplinaire?
  8. Quel genre de chrétien devrait vous accompagner en tant que témoin (Ga 6)?
  9. Qu’est-ce que cela veut dire de regarder quelqu’un comme un païen ou un péager?
  10. Quel est le but ultime à chaque étape du processus disciplinaire? Voir aussi Jacques 5:19-20.
  11. Quels sont les différents exemples que Jésus a employés dans Matthieu 18:1-9 pour démontrer la gravité d’être une pierre d’achoppement pour quelqu’un d’autre?
  12. Comment doit-on appliquer Matthieu 18:10-14?
  13. Quelle est le lien entre Matthieu 18:18-20 et Matthieu 18:15-17?
  14. Jésus a senti le besoin de nous mettre en garde au sujet du pardon (Mt 18:21-35). Pourquoi une église aurait-elle de la difficulté à pardonner à un frère repentant? Voir 2 Corinthiens 2:5-11.
  15. Pour quelle raison la plupart des églises d’aujourd’hui négligent-elles totalement Matthieu 18:15 et les versets suivants? Voir 1 Corinthiens 5.
  16. Que devriez-vous faire si vous êtes dans une église qui refuse d’obéir à Matthieu 18:15 et les versets suivants?

Remarque : La NTRF offre aussi des ressources pour l’enseignant afin de l’aider à diriger une discussion au sujet de la vie d’église du Nouveau Testament. Demandez The Practice of The Early Church: A Theological Workbook (Leader’s Guide) à www.NTRF.org.